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L'annuel Connexions:
Les dimensions de cette crise sont effrayantes. Le réchauffement de la planète, l'effet de serre, menacent des perturbations au climat, niveau de la mer, l'approvisionnement de l'eau, l'agriculture. Les polluants dans l'air, y compris la pluie acidité, causent la mort des lacs et des forêts et sont une cause majeure de cancer et des maladies respiratoires chez les humains. La pollution de l'eau, incluant les déchets toxiques, les eaux d'égouts, le déversement de mazout et les vidanges déchargées dans la mer, dévisageant les littoraux et rendant l'eau impossible à boire ou à se baigner. Les poissons et les mammifères aquatiques souffrent de ces hasards, de sur pêcher avec des filets dérivants mortels. L'ozone protectrice de la terre devient dangereusement mince, avec des effets potentiellement dévastatrices sur la nourriture marine et sur les humains qui prennent trop de soleil. Les forêts tropicales humides sont en train d'être détruites à un rythme catastrophique avec des conséquences inévitable pour le climat mondial. Nous sommes en plein milieu d'une vague massive d'instinction des espèces et de beaucoup d'autres espèces animale et plantes qui sont sur le seuil. Les tensions sur la nature et l'habitat à comme gamme la destruction catégorique, jusqu'à surchasser et la prolifération des véhicules tout-terrains. Les pratiques agriculturelles non durables dégradent la terre, les diminutions des réservoirs d'eau qui ont pris des siècles pour se remplir, polluant les lacs, les rivières et l'eau souterraine avec des produits chimiques, encouragent involontairement la sélection biologique des insectes en les rendant résistant aux pesticides, rétrécissant la diversité génétique des espèces de plantes cultivées. S'il y à de l'espoir, c'est que la population mondial résiste à l'envie de simplement désespérer et au contraire, de chercher de quoi pour renverser cette tendance. Beaucoup de personnes essaient de changer leur mode de vie par éviter les produits et les pratiques qui sont néfaste à l'environnement par réutiliser, en compostant et en réduisant l'utilisation de leur automobile. Ils font aussi pression sur les gouvernements et l'industrie pour changer et supporter les organisations environnementales. Au Canada les groupes environnementalistes et conservationnistes sont ressortis autour d'une grande variété d'intérêts. Quelques un se concentrent sur les problèmes locaux comme le nettoyage d'une rivière ou les décharges interdites de déchets non-traités dans la mer. D'autres s'occupent de plus gros problèmes comme la pluie acidité, la préservation des terres mouillées et des superficies naturelles et sauvages, la pollution des océans et des grands lacs, la conservation de l'énergie, le pouvoir nucléaire, l'emballage excessif, l'industrie forestière ou la planification urbaine et l'utilisation du terrain. L'agriculture et la vie rurale sont d'un intérêt particulier. Les fermiers canadiens (et les communautés rurales qui dépendent d'eux) sont entraînés par des pressions d'un marché économique qui exprime les petits fermiers tout en encourageant des pratiques agriculturelles endommageantes. L'agriculture est au même niveau que l'industrie minière, la pêche et le travail de construction qui ont énormément de risques d'injures physiques ou même de morts et en plus les fermiers sont exposés à des pesticides hasardeux. Les fermiers qui veulent s'en sortir, sont prisonniers d'énormes dettes. Comme réponse, des organisations qui travaillent à la survie de la famille; des familles agricoles et des communautés rurales ont repoussé comme un mouvement pour retourner à des techniques d'agriculture organique. Heureusement le marché des produits « organiques » va rapidement à la hausse. Un mouvement pour le changement prend de la vitesse et compte ses succès locaux et en même temps a un impact social très important. Ceux qui sont actifs sur les problèmes environnementaux et se demandent comment ils peuvent mieux s'organiser. D'autres groupes voient leur rôles en faisant pression sur les gouvernements et les entreprises et avec des problèmes bien définis. D'autres groupes sont strictement locaux, employant des tactiques qui vont de l'éducation et de pétitions jusqu'à la désobéissance civile. Encore d'autres organisation ont développées des visions stratégiques plus large. Quelques un se voient d'abord écologiques (écologie profonde) pendant que d'autres incoporent une vision économique et aussi social (« écologie sociale » « bio régionalisme » ou le mouvement vert). Certains accentuent le développement de modèles alternatifs d'activités économiques durables basées sur des approches décentralisées et à « l'échelle humaine ». Aussi reconnu est le fait que les questions environnementales sont étroitement reliées aux problèmes du tiers-monde et aux questions de paix et de planification urbaine. La conscience croissante des problèmes environnementaux de nature globale les ont rendus si apparent, qu'il n'y à aucune espérance de les résoudrent si les problèmes des pays pauvres ne soient pas adressés. Par exemple, la majorité des pays du tiers-monde n'ont aucun système d'égout, aucun contrôle sur la pollution industrielle, et aucun moyen de traiter les déchets dangereux sinon en les déchargeant dans la mer. Les forêts tropicales humides vont toujours continuées à être dégagées à moins que les gens locaux voient une alternative économique viable à eux-mêmes. Il y a encore de l'espoir pour inverser cette tendance d'effondrement environnementale, mais seulement si ont peu travailler ensemble partout dans le monde pour atteindre de profonds changements. Nos maintes initiatives sont près d'atteindrent ce but, mais il faut encore beaucoup plus d'étapes avant que nous soyons un mouvement capable d'apporter ces changements.
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